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LE BLOG DE KEZA
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29 mars 2007

Témoignage dune réscapée; Nous existons encore - Annick Kayitesi


Nous existons encore - Annick Kayitesi
Vidéo envoyée par LiliTheKing

liens:http://www.dailymotion.com/video/x11f4o_nous-existons-encore-annick-kayites

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C
Le père de Kayitesi Annick, docteur en médecine était Hutu.Sa mère était Tutsi. Au Rwanda ancien et actuel, l'ethnie d'un Rwandaise est transmise par le père et nullement par la mère. Il s'ensuit que contrairement à ses dires, Kayitesi Annick est Hutu et nullement Tutsi. Son père est mort dans une incendie dans une maison en Belgique où il était allé faire soigner un de ses enfants. Dans tous ses écrits, il est étonnant qu'elle ne parle jamais de son père et son frère morts dans une incendie en Belgique. Sa mère était Tutsi, du clan Abega et infirmière et borgne. Elle a été effectivement tuée par les jeunes rwandaise qui semaient la mort et la terreur non seulement contre les Tutsi mais également contre les Hutu. Sa mère était notoirement pro-FPR. C'est pour ce motif qu'elle a été tuée. La singularité du Rwanda non connue par les étrangers, est que dans ce pays, tout le monde connaît qui est qui, qui a fait ou fait quoi, les Rwandais ont des liens divers, complexes et séculaires de sorte que s'agissant des massacres qui ont été commis au Rwanda, aucun Rwandais ne peut mentir un autre Rwanda quant à leurs causes de fond et de forme ainsi qu'à leurs auteurs. kayitesi Annick n'a pas été tué parce qu'aux yeux des tueurs, elle était Hutu et non pas elle a pu s'échapper. Elle le sait très bien même s'elle raconte des galimatias aux seules fins de se faire connaître et de vendre ses livres. C'est une fille courageuse et ambitieuse. Ce qui est contestable et regrettable chez elle c'est qu'elle saupoudre son histoire et profère des affirmations inexactes tout en sachant que plusieurs rwandais la connaissent et qu'ils peuvent conséquemment déconstruire ses dires ou la discréditer. Elle peut dire qu'elle était par son père mais parce qu'elle était proche de sa mère après la mort de son père, elle est devenue Tutsi tout en restant Hutu dans sa carte d'identité et dans les registres de sa commune. Pour Kagamé et les siens, elle n'est pas Tutsi, le vrai et ne le sera jamais. S'elle était Tutsi comme elle le dit elle aurait intégré le régime tutsi rwandais et obtenir un bon poste dans un ministère. Elle a fait les sciences politiques. par son niveau de formation, s'elle était Tutsi comme elle l'écrit, elle serait aujourd'hui directrice générale dans un ministère ou députée à la chambre des Députés. Une vrai Tutsi de son niveau, elle est ici au Rwanda pour servir le régime Kagamé et nullement à l'étranger. Les Tutsi sont divisés en deux catégories: 1/ les Tutsi de premier rang les vrais : sont lesTutsi de père et mère Tutsi et qui qui n'ont jamais accepté la République Rwandaise et opté pour l'exil au lieu de s'incliner devant la volonté du Peuple quant à l'abolition de la monarchie, qui ont apporté une contribution effective à l'effort de guerre du FPR contre le gouvernement rwandais dit Hutu; 2/ les Tutsi de second rang sont les Tutsi de père et mère Tutsi mais qui sont restés au Rwanda et ont conséquemment accepté la République Rwandaise et n'ont apporté aucune contribution à l'effort de guerre ci-dessus évoqué. Ce sont en fait des Hutu et ne seront jamais des Tutsi dignes de ce nom. Ils doivent être et son traités comme tels par Kagamé et les siens. Annick n'est Tutsi de premier rang ni Tutsi de second rang. Elle était Tutsi dans son imaginaire. Aussi, dans ses récits, elle fait une confusion entre les faits à savoir les crimes qui ont été commis contre les Tutsi et le génocide qui est leur qualification juridique. Le constat est que des milliers de littératures ont été et sont consacrées à la qualification juridique des crimes qui ont été commis contre les Tutsi et dont nul ne peut nier mais aucune étude sur les faits à savoir les crimes qui ont été commis au Rwanda : leur analyse chronologique et la situation contextuelle dans laquelle ils ont été commis d'une part la guerre contre le Rwanda et ses conséquences d'autre part.<br /> <br /> Cette confusion est volontaire car le génocide tel qu'il est défini par le droit français et le droit international en tant que qualification juridique, ses éléments constitutifs sont précis. C'est absence de débat et d'écrit sur la guerre contre le Rwanda, la chronologie de la commission de ces crimes et la situation contextuelle dans laquelle ils sont été commis qui est à l'origine de contestation de la qualification du génocide des crimes qui ont été commis contre les Tutsi. Il n'existe aucun écrit crédible de quelque nature que ce soit de l'ONU, Union Africaine, TPIR et le Rwanda qui irréfutablement " que les crimes qui ont été commis contre les Tutsi sont juridiquement constitutifs de génocide". Le droit ne retient pas les spéculations. Le génocide est une question de qualité et nullement de quantité( le nombre de victimes) mais de qualité à savoir l'intention en droit international; en droit français, celle-ci découle de la planification.<br /> <br /> Par ailleurs Kagamé a interdit le recensement des Rwandais par ethnie et par commune en 2002, lors du recensement général de la population rwandaise. Les résultats du recensement de 2002 dont j'étais superviseur n'ont pas été portés à la connaissance des Rwandais sur décision de Kagamé. Le recensement des Rwandais par ethnie et par commune aurait permis de connaître le nombre de morts Hutu, Tutsi et Twa et celui des Rwandais par commune. Pourquoi Kagamé l'a-t-il interdit? J'ai posé la question. Réponse: Le Président décide les subalternes exécutent ou se taisent. Les chiffres de 800000 , plus d'un million de morts Tutsi évoqués dans diverses littératures sont fantaisistes.<br /> <br /> En 1994: les Rwandais: 7200000; les Tutsi: 9% de la population.
C
Le père de Kayitesi Annick, docteur en médecine était Hutu.Sa mère était Tutsi. Au Rwanda ancien et actuel, l'ethnie d'un Rwandaise est transmise par le père et nullement par la mère. Il s'ensuit que contrairement à ses dires, Kayitesi Annick est Hutu et nullement Tutsi. Son père est mort dans une incendie dans une maison en Belgique où il était allé faire soigner un de ses enfants. Dans tous ses écrits, il est étonnant qu'elle ne parle jamais de son père et son frère morts dans une incendie en Belgique. Sa mère était Tutsi, du clan Abega et infirmière et borgne. Elle a été effectivement tuée par les jeunes rwandaise qui semaient la mort et la terreur non seulement contre les Tutsi mais également contre les Hutu. Sa mère était notoirement pro-FPR. C'est pour ce motif qu'elle a été tuée. La singularité du Rwanda non connue par les étrangers, est que dans ce pays, tout le monde connaît qui est qui, qui a fait ou fait quoi, les Rwandais ont des liens divers, complexes et séculaires de sorte que s'agissant des massacres qui ont été commis au Rwanda, aucun Rwandais ne peut mentir un autre Rwanda quant à leurs causes de fond et de forme ainsi qu'à leurs auteurs. kayitesi Annick n'a pas été tué parce qu'aux yeux des tueurs, elle était Hutu et non pas elle a pu s'échapper. Elle le sait très bien même s'elle raconte des galimatias aux seules fins de se faire connaître et de vendre ses livres. C'est une fille courageuse et ambitieuse. Ce qui est contestable et regrettable chez elle c'est qu'elle saupoudre son histoire et profère des affirmations inexactes tout en sachant que plusieurs rwandais la connaissent et qu'ils peuvent conséquemment déconstruire ses dires ou la discréditer. Elle peut dire qu'elle était par son père mais parce qu'elle était proche de sa mère après la mort de son père, elle est devenue Tutsi tout en restant Hutu dans sa carte d'identité et dans les registres de sa commune. Pour Kagamé et les siens, elle n'est pas Tutsi, le vrai et ne le sera jamais. S'elle était Tutsi comme elle le dit elle aurait intégré le régime tutsi rwandais et obtenir un bon poste dans un ministère. Elle a fait les sciences politiques. par son niveau de formation, s'elle était Tutsi comme elle l'écrit, elle serait aujourd'hui directrice générale dans un ministère ou députée à la chambre des Députés. Une vrai Tutsi de son niveau, elle est ici au Rwanda pour servir le régime Kagamé et nullement à l'étranger. Les Tutsi sont divisés en deux catégories: 1/ les Tutsi de premier rang les vrais : sont lesTutsi de père et mère Tutsi et qui qui n'ont jamais accepté la République Rwandaise et opté pour l'exil au lieu de s'incliner devant la volonté du Peuple quant à l'abolition de la monarchie, qui ont apporté une contribution effective à l'effort de guerre du FPR contre le gouvernement rwandais dit Hutu; 2/ les Tutsi de second rang sont les Tutsi de père et mère Tutsi mais qui sont restés au Rwanda et ont conséquemment accepté la République Rwandaise et n'ont apporté aucune contribution à l'effort de guerre ci-dessus évoqué. Ce sont en fait des Hutu et ne seront jamais des Tutsi dignes de ce nom. Ils doivent être et son traités comme tels par Kagamé et les siens. Annick n'est Tutsi de premier rang ni Tutsi de second rang. Elle était Tutsi dans son imaginaire. Aussi, dans ses récits, elle fait une confusion entre les faits à savoir les crimes qui ont été commis contre les Tutsi et le génocide qui est leur qualification juridique. Le constat est que des milliers de littératures ont été et sont consacrées à la qualification juridique des crimes qui ont été commis contre les Tutsi et dont nul ne peut nier mais aucune étude sur les faits à savoir les crimes qui ont été commis au Rwanda : leur analyse chronologique et la situation contextuelle dans laquelle ils ont été commis d'une part la guerre contre le Rwanda et ses conséquences d'autre part.<br /> <br /> Cette confusion est volontaire car le génocide tel qu'il est défini par le droit français et le droit international en tant que qualification juridique, ses éléments constitutifs sont précis. C'est absence de débat et d'écrit sur la guerre contre le Rwanda, la chronologie de la commission de ces crimes et la situation contextuelle dans laquelle ils sont été commis qui est à l'origine de contestation de la qualification du génocide des crimes qui ont été commis contre les Tutsi. Il n'existe aucun écrit crédible de quelque nature que ce soit de l'ONU, Union Africaine, TPIR et le Rwanda qui irréfutablement " que les crimes qui ont été commis contre les Tutsi sont juridiquement constitutifs de génocide". Le droit ne retient pas les spéculations. Le génocide est une question de qualité et nullement de quantité( le nombre de victimes) mais de qualité à savoir l'intention en droit international; en droit français, celle-ci découle de la planification.<br /> <br /> Par ailleurs Kagamé a interdit le recensement des Rwandais par ethnie et par commune en 2002, lors du recensement général de la population rwandaise. Les résultats du recensement de 2002 dont j'étais superviseur n'ont pas été portés à la connaissance des Rwandais sur décision de Kagamé. Le recensement des Rwandais par ethnie et par commune aurait permis de connaître le nombre de morts Hutu, Tutsi et Twa et celui des Rwandais par commune. Pourquoi Kagamé l'a-t-il interdit? J'ai posé la question. Réponse: Le Président décide les subalternes exécutent ou se taisent. Les chiffres de 800000 , plus d'un million de morts Tutsi évoqués dans diverses littératures sont fantaisistes.<br /> <br /> En 1994: les Rwandais: 7200000; les Tutsi: 9% de la population.
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